Сочинения в двенадцати томах. Том 2
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Francastel
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je sertiffit quille seret fort juste de d'etruire. La but (sic) de compagnonage dit du devoir car il faut croire avec justisse que cest plustot au Brigandage qu’une chosse hutille jay 'et'e themoin dans mon chanti'ee de Baucoup de haine trais de m'echanstee a laquelle j «ty mis ordre mes je d'esirerait que Ion, Labolisse temps pour la tranquilit'e des maitres que des ouvriers.
Bajeuerye
J’aprouve Le present memoire Sertifie par mes confr`ere.
Bullot.
J’approuve le present memoire veritable a paris ce 11 May 1790.
Martin.
J’aprouve Et certifie le present memoire tr^et veritable. Et ces malheureuse assemble'e sont Laperte des ouvriers Et font grand tord au maitre fort occup'ee par les caballe Excessive que cela occasionne a paris ce 11 May 1790.
Francois.
Japrouve que le present.
Memoire Et juste Et que tant quil y aura du Devoir dans Le compagnonnage des charpentier ils ne seront jamais da cors a paris le 11 Mai 1790.
L. Econef.
Nous ancien sindic comptable de la communaut'e des charpentiers de cette ville apr`es avoir veu arriv'ee dans diferents travaux que j’ay fait plusieurs evenement d’angereux dans les diferents compagnons Bondrille et Renard a cause de leur pretendu roolle (совершенно
D’insard.
Landry plegnant
Rigolleau plegnant
Touet plegnant
Robino plegnant
XV
Нац. арх.
D. XXIX b 6.
Extrait des registres des d'elib'erations de l’assembl'ee g'en'erale du district
de S-te Margueritte. Suitte des arr^et'es pris le 4 Juin 1790.
Ledit jour dans la m^eme s'eance sur la d'enonciation faite par un membre, d’un article ins'er'e dans le N 129-de l’Observateur de l’imprimerie de Guillaume Junior, comme inculpant gri`evement un pr^etre habitu'e de Ste Margueritte du fauxbourg St. Antoine, nomm'e Schalzel, M. le Pr'esident a demand'e la repr'esentation dud. №, Et d’apres la lecture dud. article,
L’Assembl'ee p'en'etr'ee d’horreur et d’indignation des propos aussi ind'ecens que d'eplac'es et incendiaires, pr^et'es par le r'edacteur ad. S. Schalzel, touch'ee d’un autre c^ot'e du concours de circonstances dans lequel cet 'ecrit a 'et'e lanc'e dans le public, le jour d’une f^ete des plus solennelles qui r'eunit une quantit'e prodigieuse de citoyens, jour o`u le d. S. Schalzel, en sa qualit'e de Pr^etre allemand, ouvre procession du St. Sacrement `a la t^ete d’un nombre tr`es consid'erable d’ouvriers.
D’apres ces consid'erations et ces motifs, d’autant plus puissans que la detresse affreuse qui se fait sentir dans le fauxbourg semble devenir un appat de plus pour la s'eduction, employ'ee sous mille formes diff'erentes par les ennemis du bien public l’assembl'ee contenue par le respect et la soumission qu’elle a vou'es `a la loi et au bon ordre a 'eloign'e toutes voyes de fait et a arr^et'e: 1-o. qu’il seroit nomm'e par l’assembl'ee quatre commisaires qui se r'euniront avec ceux nomm'es par les deux autres districts, pour informer contre une pareille d'enonciation par toutes les voies que leur prudence et leur sagesse leur dicteroient, et remise ensuitte au minist`ere public. — 2–0. Que led. S. Schalzel qui en sa qualit'e de citoyen est sous la sauvegarde de la loi seroit en autre mis sous la protection sp'eciale de la commune du fauxbourg avec d’autant plus de justice qu’un tr`es grand nombre d’ouvriers de la Manufacture des glaces et de chez M. Reveillon a rendu le t'emoignage le plus authentique `a sa probit'e, a son patriotisme et `a sa bienfaisance.
3-o Et que la pr'esente d'elib'eration seroit desuitte port'ee aux deux autres Districts, inprim'ee et affich'ee dans tout le fauxbourg dans l’Espace de Vingt-quatre heures; sign'e Delaisille, pr'esident, De-Faux, vice-pr'esident et l’abb'e Deladev'eze, secretaire.
D'elivr'e et collationn'e par nous, Secretaire soussign'e, Le Seize juin septcent quantrevingt dix.
L. Deladeveze.
XVI
Нац.
арх.D. XXIX b 6, cote 94.
District des Enfants trouv'es, Extrait du registre des d'elib'erations. Assembl'ee g'en'erale du vendredi 4 juin 1790.
Des d'eput'es du District de St. Margueritte sont venus, annoncer que l’on venoit de d'enoncer `a l’Assembl'ee g'en'erale de leur district une feuille publique intitul'ee l’Observateur n° 129, dans laquelle on presenloit le sr. abb'e Schalzel pr^etre habitu'e de la paroisse de S-te Margueritte comme coupable d’avoir par des propos incendiaires cherch'e `a engager les Ma^itres Eb'enistes du faubourg `a cesser de donner de l’occupation `a leurs ouvriers, d’avoir tach'e de diminuer dans l’esprit du peuple le respect d^u `a l’assembl'ee nationale et sa confiance en ses op'erations. Que le District de S-te Margueritte avoit cru devoir s’occuper de l’examen des faits qui avoient pu donner lieu `a des inculpations aussi graves contre un Eccl'esiastique estim'e dans la paroisse; qu’en cons'equence il avoit nomm'e quatre commissaires pour faire les informations n'ecessaires et qu’en attendant le S. abb'e Schalzel seroit mis sous la protection du Districts; il a 'et'e en outre arr^et'e que les Districts des Enfans trouv'es et de Popincourt seroient invit'es `a adh'erer `a cette d'elib'eration. L’assembl'ee consid'erant combien l’objet d'enonc'e par les D'eput'es de S-te Margueritte peut int'eresser l’ordre public a arr^et'e que M. Vatrin, Daridan, Cauthion et Pochet fils se r'euniroient aux commissaires des deux autres Districts du faubourg St. Antoine, `a l’effet de prendre les informations n'ecessaires pour veriffier si le S. Abb'e Schalzel avoit donn'e lieu ou non aux inculpations inser'ees dans le n° 129 de l’Observateur pour, sur le rapport fait par d. Commissaires, ^etre statu'e.
L’Assembl'ee consid'erant en outre que les bruits r'epondus contre le S. Abb'e Schalzel pourraient; l’exposer, `a d'eclar'e quil devoit ^etre regard'e comme 'etant par sa qualit'e d’homme et de citoyen, sous la sauvegarde de la Loi, et qu’en outre il seroit mis sous la protection Sp'eciale du District. D'elivr'e pour copie conforme `a l’original par nous Greffier Secretaire Suppl'eant.
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Renel
XVII
Нац. арх.
O1 1183, — 352.
Carri`eres de Paris, D'eclarations.
du 18 juin 1790.
На полях: N. B. Que cette pi`ece ayant 'et'e produite par M. Guillaumot `a l’ex-maire de Paris, le tribunal de police a rendu le 22 Juin 1790 une proclamation destin'ee `a contenir les ouvriers dans le devoir. Il y en a exemp. imprim'e aux liasses de carri`eres.
Nous, Directeur et Ordonnateur G'en'eral des B^atiments du Roi, nomm'e par arr^et du conseil du 4 Avril 1777 pour concourir avec l’ancien Magistrat de Police de la ville de Paris au premier exercice de la commission 'etablie pour les carri`eres sous Paris et plaines adjacentes, concours que nous avons exerc'e jusqu’au moment o`u la d'eclaration du Roi du mois de 7-bre 1778, registr'e au Parlement, a introduit un nouvel ordre sur la mati`ere.
Sur ce qui nous a 'et'e expos'e par M. Guillaumot architecte du Roi, Contr^oleur et Inspecteur g'en'eral des travaux des carri`eres sous Paris et plaines adjacentes, que depuis quelque tems un nombre consid'erable d’ouvriers les uns actuellement en activit'e dans les carri`eres, les autres retir'es volontairement ou renvoy'es de ces atteliers, affectent d’avoir et de semer l’opinion que leur payement doit 'emaner directement du Roi et de l’administration `a des prix qu’ils supposent fix'es et indepedants de l’entrepreneur.