seul solitude pour solitude j’ai etale le feu des souvenirsdevant moi et j’ai compte les ans pesantsles orages de larmes atteles aux nains printempsque le present balaye d’une main dedaigneuseje t’ai reconnu grand Panda en ton austere enfanceet devinant les craintes au coeur des yeux conquisj’ai saisi departs fouillant les heures useesla feinte des forets massees autour de ton silence